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dimanche 19 février 2012

Sarkozy à Marseille : "Nous avons réussi à éviter la catastrophe"


Sarkozy à Marseille : "Nous avons réussi à éviter la catastrophe"

Créé le 19-02-2012 à 07h24 - Mis à jour à 17h07      71 réactions

Devant plus de 12.000 personnes, le candidat UMP a conclu son discours en lançant cet appel à un public conquis : "Aidez-moi à réussir pour la France".

 
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Le ton à Marseille pourrait toutefois être différent, le candidat Sarkozy ayant plaidé, samedi en inaugurant son QG, pour une campagne "sans agressivité". (Claude Paris - AP - Sipa)
Le ton à Marseille pourrait toutefois être différent, le candidat Sarkozy ayant plaidé, samedi en inaugurant son QG, pour une campagne "sans agressivité". (Claude Paris - AP - Sipa)
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"Aujourd'hui, je suis venu parler de la France", a lancé Nicolas Sarkozy pour ouvrir son discours à l'occasion du meeting de Marseille. "Il n'y a pas un seul combat qui soit supérieur à celui qu'on mène pour son pays", a déclaré le candidat UMP. Des milliers de personnes se pressaient dimanche 19 février à l'intérieur de la salle du Parc Chanot, à Marseille.
"Une France faible ne peut pas protéger les Français", a estimé Nicolas Sarkozy pour qui, face à la crise, "nous avons échappé à une catastrophe". La situation économique a occupé le centre du discours du candidat :
Occulter la crise, c'est malhonnête et c'est dangereux."
Nicolas Sarkozy a défendu le bilan de son gouvernement et justifié sa politique d'austérité : "Si on refuse la réalité, on ne peut pas comprendre les efforts qu'il nous faut faire."
"Quand on oublie la France, on oublie que l'Etat, c'est tous les Français. La dette de l'Etat et la dette des Français, c'est une seule et même dette", a martelé Nicolas Sarkozy.

"Ne pas sacrifier son identité à la mode du moment"

Après avoir précisé la position de la France face à la crise, il a abordé le sujet du travail pour, très vite, aborder la question de l'immigration :
Si on ne régule pas l'immigration, on ira droit à la faillite."
Il a ensuite confirmé sa finalement ferme opposition au droit de vote des étrangers aux élections locales :
On ne prend pas le risque d'un vote communautaire qui ferait peser sur les élus une pression communautariste."
Nicolas Sarkozy a évacué tout débat sur l'euthanasie ou l'ouverture du mariage homosexuel - sans directement le nommer - en déclarant :
Nous ne voulons pas sacrifier notre identité à la mode du moment."
Il en a profité pour défendre sa vision de l'autorité : "Je veux aller à la rencontre des Français pour leur parler de l'autorité. Je veux parler de l'autorité du maître à l'école, pas du copain à l'école", et d'ajouter :
Un monde sans autorité est un monde sans liberté."
Face à un public conquis, le candidat UMP a affirmé sa détermination dans la campagne :
Je vais à cette rencontre en sachant que la volonté ne peut pas tout mais, sans volonté, on ne peut rien."
Nicolas Sarkozy a terminé son discours en lançant cet appel volontariste au public réuni par Chanot  :
Aidez-moi à réussir pour la France."

"On va gagner!"

Un écran géant était installé à l'extérieur, dans le parc. Au total, quelque 12.000 personnes venant de la région PACA et des régions limitrophes étaient attendues.
Dans la foule on pouvait voir beaucoup de "jeunes populaires" agitant des drapeaux tricolores et arborant des tee-shirts blanc avec inscrit, en lettres bleues et rouges, "les jeunes avec Sarko".
Dès le début de l'après-midi, l'agitation commençait à gagner avec des cris comme "Sarkozy président" et "On va gagner!".

Copé chauffeur de salle

Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, a pris la parole avec Jean-Claude Gaudin, le maire de Marseille, avant le discours de Nicolas Sarkozy.
Le candidat UMP à la présidentielle avait prévu de parler de "la France" et des "Français", ce qui lui a permis d'exalter à nouveau les "valeurs" du travail ou de l'identité nationale.
Il s'agissait du premier grand meeting de soutien organisé en région par le parti majoritaire, l'UMP, et la deuxième réunion publique de Nicolas Sarkozy depuis sa déclaration de candidature, mercredi.

"Projet contre projet, idées contre idées"

Le candidat, distancé dans les sondages par son principal rival François Hollande (PS), se montre très offensif depuis son entrée en campagne et ne ménage pas ses attaques contre son concurrent, l'accusant, sans le nommer, de "mentir" aux Français et, par sa "lâcheté", d'"affaiblir" la France.
Le ton à Marseille a pourtant évolué, le candidat ayant plaidé, samedi en inaugurant son QG, au 18 rue de la Convention à Paris (XVe) pour une campagne "sans agressivité". "Ce sera projet contre projet, idées contre idées", a-t-il promis.

"Travail-responsabilité-autorité"

Alors que des livres sur la France, notamment celui du photographe Raymond Depardon, trônent ostensiblement sur les étagères de la bibliothèque de son bureau de campagne, "La France" et "les Français" seront les sujets de son allocution marseillaise, a-t-il confié samedi à la presse.
Ils devraient lui permettre de développer son triptyque "travail-responsabilité-autorité", autant de "valeurs qui permettent de construire un projet personnel et collectif", affirmait-il au Figaro-Magazine du 11 février. Il évoquait alors le modèle social français, qu'il brocardait en 2007 et dont il se veut aujourd'hui, crise oblige, le "garant" et le "protecteur" à condition toutefois d'y apporter des "transformations".

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