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La Chine pourrait avoir un rôle clé dans le sauvetage de la zone euro. Alors que le directeur du Fonds de stabilité financière pour la zone euro (FESF), Klaus Regling, a fait le déplacement à Pékin pour discuter des modalités d'une intervention chinoise, l'empire du Milieu envisagerait d'investir entre 50 et 100 milliards de dollars, selon des conseillers de la banque centrale chinoise interrogés par le Financial Times .
Klaus Regling a affirmé tôt ce matin depuis Pékin qu'il «n'y a pas de négociations en cours avec la Chine» mais il a reconnu avoir «des consultations régulières à un stade préliminaire» avec les autorités du pays. De son côté, Pékin a précisé vendredi qu'elle attendait pour investir d'obtenir «des détails techniques pour y voir clair». «Des études sérieuses» seront également menées avant de procéder à tout investissement, a expliqué le vice-ministre chinois des Finances lors d'un point presse.
D'après le Financial Times, la Chine serait cependant prête à puiser dans ses colossales réserves de change de 3.200 milliards de dollars pour venir en aide à la zone euro et notamment au FESF, à la recherche de 1000 milliards d'euros de financement. Un financement vraisemblablement structuré via un fonds spécial adossé au Fonds monétaire international. Le gouvernement chinois n'a pas officiellement confirmé l'information mais un porte-parole du ministère des Affaires étrangères a affirmé que son pays va «explorer les moyens de renforcer la coopération bilatérale sur la base d'un bénéfice réciproque».
Mais une éventuelle intervention de la Chine pour sauver la zone euro est accueillie avec réserve sur le Vieux Continent. Le candidat socialiste à l'élection présidentielle, François Hollande, s'est interrogé sur les contreparties qu'une aide chinoise impliqueraient. De son côté, Nicolas Sarkozy a estimé que la Chine n'était pas indispensable au sauvetage de la monnaie européenne. «La preuve, c'est qu'on l'a sauvée sans les Chinois», a lancé le président français lors d'une intervention télévisée. Mais le chef d'État a également assuré que si Pékin intervenait «notre indépendance ne serait pas remise en cause», ne voyant pas l'intérêt de refuser une telle manne financière. Selon des estimations d'économistes, les Chinois détiennent déjà plus de 500 milliards de dollars de dette des Etats européens.
La vallée de l’Ourika La vallée de l’Ourika s’étend entre les premiers contreforts de l’Atlas. Malgré sa proximité avec Marrakech, cette belle vallée verdoyante est très certainement l’une des vallées les mieux préservées au Maroc. Après avoir traversé la plaine fertile de l’Haouz et ses nombreux vergers plantés d’agrumes et d’oliviers, on arrive rapidement au bord des rives de l’oued Ourika avec en arrière-plan les imposants sommets de l’Atlas. Au km 34 on parvient au douar de Tnine de l’Ourika. Cette charmante petit bourgade est un centre névralgique de la région en raison de son souk tous les lundis. En continuant sa route le long de la vallée de l’ourika, on est frappé par les rives de l’oued dont les prairies sont généreusement ombragées par des peupliers et autres saules pleureurs peu habituels sous cette latitude. On s’enthousiasme pour ce paysage multicolore qui marie à la perfection l’ocre de la terre et la verdure avoisinante « Ici, nous explique-t-on, il y a beaucoup d’eau mais peu de terres, ce n’est pas comme en bas ou l’eau manque mais pas les terres ».Plus loi sur la route, si on n’a pas été tenté par les attractions offertes par l’Oukaimeden, les village Arhbalou tente de nous séduire avec sa multitude de petits restaurants installés au fil de l’eau. En continuant sa route le long de la vallée de l’ourika, on est frappé par les rives de l’oued dont les prairies sont généreusement ombragées par des peupliers et autres saules pleureurs peu habituels sous cette latitude. On s’enthousiasme pour ce paysage multicolore qui marie à la perfection l’ocre de la terre et la verdure avoisinante « Ici, nous explique-t-on, il y a beaucoup d’eau mais peu de terres, ce n’est pas comme en bas ou l’eau manque mais pas les terres ».Plus loi sur la route, si on n’a pas été tenté par les attractions offertes par l’Oukaimeden, les village Arhbalou tente de nous séduire avec sa multitude de petits restaurants installés au fil de l’eau. Situé à 1500m d’altitude, il constitue, lors de la longue saison chaude de Marrakech, une halte tentante pour les nombreuses familles en quête d’un peu de fraîcheur. L’air, ici, est pour mais également beaucoup plus frais que dans la plaine de l’Houz (10 à 15° de mois). En poursuivant son chemin, on parviendra au km 68 au village de setti-fatma. Terminus obligé de notre montée vers les sommets de l’atlas, le village de seti-fatma constitue une halte obligatoire et sportive lors d’une excursion dans la vallée de l’Ourika. De là commence une série de randonnées plus ou moins difficiles. La plus prisée est sans conteste la découverte des 7 cascades. On traversera le pont en bois qui franchit l’oued avant de se lancer dans une ascension glissante le long des berges d’un petit torrent. Les mois sportifs se contenteront d’admirer la première cascade puis la vue imprenable sur la vallée et le massif de l’Yaghour alors que les autres partiront pour une randonnée de plus de ces 2 heures à la découverte de ces 7 fameuses cascades. Les plus courageux et les plus aguerris se lanceront à l’ascension du mont Toubkal qui culmine à une altitude proche de celle du Mont blanc, ou partiront à la quête des célèbres gravures rupestres du mont Yaghour. | ||||
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